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Analphabétisme, alphabétisation et Education Permanente
quelques éléments d'histoire

Page réalisée notamment à partir des travaux de Laurence Dubois et Noëlla Rousseau

I) Analphabétisme ou Illettrisme ?

Définition
En 1958, l’UNESCO définit comme analphabète, «une personne incapable de lire et écrire, en le comprenant, un exposé simple et bref de faits en rapport avec sa vie quotidienne ».
En 1978, est considérée comme analphabète toute personne qui est «incapable d’exercer toutes les activités pour lesquelles l’alphabétisation est nécessaire dans l’intérêt du bon fonctionnement de son groupe et de celui de sa communauté, de continuer à lire, écrire et calculer en vue de son propre développement et de celui de sa communauté »
Plus récemment est apparu le mot "illettrisme", que certains organismes, contrairement à l'Unesco, veulent différencier de l'analphabétisme.
Ainsi
l'illettrisme serait plus particulièrement utilisé pour qualifier des personnes scolarisées mais qui ne maîtrisent pas suffisamment l'écrit pour faire face aux exigences minimales requises dans la vie professionnelle, sociale, culturelle et personnelle. L'analphabétisme servirait alors à désigner la situation de personnes qui n'ont jamais eu l'occasion d'entrer dans l'apprentissage de l'écrit.

Causes de l’analphabétisme
a) Socio-politique
L’exclusion, la pauvreté, la condition de vie matérielle difficile et précaire, le sentiment de fatalisme et la non-utilisation des savoirs.
b) Scolaire
Le parcours scolaire chaotique (changements fréquents d’écoles, absentéisme, …) et le sentiment de rejet par l’école (dû à la culture par exemple)
c) Autres causes
- Historique : Epoque de la scolarisation et migration.
- Socio-familial : Niveau socio-économique, condition du logement, intérêts des parents pour l’école et les apprentissages, utilisation des écrits dans l’entourage et présence d’une bibliothèque à la maison.
- Personnel : Maladie et problèmes affectifs
- Géographique : Banlieues, zone rurale et éloignement de l’école.

Conséquences de l’analphabétisme
Les analphabètes vivent une inadaptation au monde moderne. Plusieurs conséquences découlent de cette inadaptation : ils ont d’importantes difficultés à communiquer, à participer à la vie de leur groupe social et culturel, à comprendre des processus complexes et diversifiés de la vie quotidienne et professionnelle, à exercer des fonctions polyvalentes, à transférer des savoir-faire d’un poste de travail à un autre et à acquérir de nouveaux savoirs et à les mobiliser avec efficacité.
Cette inadaptation les empêche aussi de s’exprimer et de participer pleinement à la vie quotidienne et culturelle. Ils ressentent un sentiment de perte de dignité. Il y a une exclusion sociale envers les analphabètes et beaucoup d’entre eux tombent dans la pauvreté.

L’analphabétisme aujourd’hui
.
En Belgique, comme dans d’autre pays de la Communauté européenne, l’existence d’analphabètes totaux, c’est-à-dire de personnes ne sachant pas du tout lire, qui ne reconnaissent pas les lettres et parfois pas non plus les chiffres, est relativement rare, bien qu’encore présente dans la population. Le cas le plus répandu est celui des personnes ayant fréquenté l’école pendant quelques années, souvent sans un goût excessif pour l’étude et qui, entrés dans le cycle du travail, n’ont plus exploité, consolidé ou développé l’embryon de connaissances acquises lors de leur passage à l’école.
Le constat du handicap que constitue l’analphabétisme est d’autant plus inacceptable que dans notre pays, l’instruction est obligatoire depuis près de 90 ans
Une occasion de dépistage et de remédiation a disparu depuis la suppression du service militaire obligatoire. On sait qu'il a longtemps contribué à repérer et à (re)mettre en apprentissage des miliciens analphabètes ou devenus illettrés. Pour les jeunes miliciens, universitaires, instituteurs, enseignants, qui étaient amenés à accompagner leurs compagnons, la fameuse question de l'utilité de la conscription ne se posait plus !
Ce handicap prend place parmi beaucoup d'autres dans ceux que doivent affronter les personnes en grande exclusion sociale. C'est pourquoi un organisme comme ATD Quart Monde accorde une telle place à l'éducation, à la prise de parole et à la revendication d'une place pour la Culture de ceux aux côtés desquels elle veut cheminer.

Les pays en voie de développement, en revanche, qui ont eu à faire face à une très forte démographie, n’ont pas pu instaurer une éducation de masse. D’où les nombreuses campagnes de l’ONU qui visent à étendre la scolarisation et la formation accélérée des adultes dans ce pays, où l’analphabétisme ne peut être qu’un facteur de retard politique.
Aujourd'hui on estime à 862 millions le nombre d'analphabètes de plus de 15 ans, soit 20,3% de la population mondiale. Si la progression d'éducation est particulièrement forte chez les femmes, celles-ci représentent encore les 2/3 du nombre total.

II) Bref survol historique de l'Instruction

L’éducation des enfants du peuple au début du Moyen Age est mal connue des historiens. Sans doute l’apprentissage des prières reste la seule éducation intellectuelle dans ce milieu où l’analphabétisme est de règle. Comme l’illustre un récit de Thomas de Cantimpré, une jeune paysanne avide de savoir ne réclame pour son instruction que l’achat d’un psautier : cet enfant représente l’image idéalisée de l’innocence réceptive à la pureté divine. En revanche, de nombreux documents témoignent de l’éducation princière à la même époque.
A la cour de Charlemagne, connu pour avoir « inventé l’école », l'instruction doit renforcer les caractères nobles des princes honnêtes. Filles et garçons complètent une instruction littéraire par des disciplines «adaptées » à leurs sexes : exercices physiques pour les uns, activités domestiques pour les autres.
Par ailleurs et surtout, elle doit donner des fonctionnaires capables de gérer efficacement l’immense empire. Enfin elle est nécessaire pour former des cadres ecclésiastiques capables de se faire respecter et d’exercer avec intelligence leur fonction spirituelle.

Pendant des siècles, seule une minorité de la population des futures provinces belges était lettrée. La maîtrise de la langue écrite et l’accès au code et à la culture de l’écrit étaient réservés à certaines élites.
Cependant, il faut nuancer ce portrait général. L’analphabétisme n’était pas réparti uniformément dans la population. Vers la fin du 18ème siècle, on trouvait beaucoup plus de femmes illettrées que d’hommes. L’analphabétisme était également plus répandu dans les campagnes que dans les villes. Il était en effet difficile à un marchand ou à un maître artisan d’exercer leur métier sans posséder les bases de l'écrit. C’est aussi en ville que se regroupaient les professions libérales, avocats, notaires, juges, médecins, qui étaient nécessairement gens de culture. Et enfin, l’analphabétisme était également plus important en Flandres qu’en Wallonie, si on excepte le Luxembourg.

Tout au long de l’Histoire, le rôle de l’Eglise dans l’éducation va être essentiel. D’abord parce que, comme il a déjà été dit, elle a besoin de clercs érudits pour perpétuer l’étude des écrits sacrés, de ministres du culte capables de dire la messe, commenter les Evangiles, faire le catéchisme aux enfants. Dans ses écoles, elle formera donc ses propres ministres, puis les enfants des villages ou des paroisses, lorsque les parents le demandent. L’école sera considérée comme un outil de culture mais surtout comme un outil missionnaire et la mémorisation comme la récitation des préceptes religieux seront prioritaires dans les apprentissages.

On comprend dès lors que des mouvements, comme celui des Lumières, auront à cœur de réfléchir très activement à une autre éducation, laïque, inculquant les principes nouveaux de « liberté-égalité-fraternité » . Condorcet sera le principal penseur de ce volet de la Révolution.
En Belgique, ce lien entre l’école et la « mainmise sur les âmes enfantines» sera très présent dans notre histoire politique puisque la guerre scolaire entre l’école chrétienne et l’école « sans Dieu » couvrira, d’abord au niveau du primaire, le 19es, ensuite au secondaire la première moitié du 20es.
Le prestige de l’instituteur dans les campagnes fut intimement lié au fait qu’il incarnait le Savoir, un Savoir longtemps détenu par très peu de personnes. Il représentait aussi l’accès à ce Savoir par le métier qu’il exerçait. Il était enfin celui qui pouvait, dans bien d’autres domaines que le « lire, écrire et compter », donner des coups de main pour comprendre le monde ou y agir efficacement.
Sans entrer dans une longue digression, on relèvera seulement qu’aujourd’hui les multiples sources d’accès à un Savoir continuellement en élaboration, les difficultés de l’école à donner des vraies clés de compréhension du monde, son image, au contraire, d’instrument de sélection et de relégation, jouent certainement un rôle dans la dévalorisation de la figure de l’enseignant.
En 1914, seulement l’enseignement devient obligatoire en Belgique jusque 14 ans et gratuit. Il sera prolongé jusqu’à 16 puis 18 ans, au début des années 80.
Depuis 1958, le pacte scolaire délimite clairement la liberté de choix de l’établissement par le père de famille, la place de l’enseignement religieux dans les écoles, quel que soit leur réseau d’appartenance et la subsidiation des écoles par les fonds publics.

III) Historique de l’éducation permanente en Belgique.

Comme dans les autres pays d’Europe Occidentale, il y avait en Belgique, depuis le 18ème siècle, des groupes sociaux qui considéraient que le niveau intellectuel et culturel des classes sociales inférieures était problématique et qui estimaient que cette situation pouvait être améliorée par un enseignement post-scolaire ainsi que par d’autres formes d’éducation populaire. A leurs yeux, la question sociale, qui préoccupa de plus en plus les esprits du 19ème, constituait essentiellement un problème moral et culturel : l’ignorance, l’immoralité et le manque de culture des classes ouvrières, tel était le noyau du problème social. Les divers courants politico-idéologiques avaient des opinions fort diverses quant au contenu de cette éducation du peuple.
Pour les catholiques, le travail post-scolaire devait surtout compléter le rôle moralisateur de l’école ou compenser son absence. Le principal moyen mis en œuvre à cet effet fut le patronage, qui offrait aux jeunes adultes une protection morale contre les influences néfastes du milieu et constituait également une alternative à la boisson et à l’oisiveté. Une réelle élévation culturelle et intellectuelle n’était pas réellement recherchée.
Par contre, une série d’initiatives d’origine libérale progressiste souhaitaient effectivement une réelle élévation du niveau populaire. Le problème social, qui avait ses origines dans l’ignorance des classes sociales inférieures, trouvait, dans cette perspective, sa solution dans la transmission de connaissances «utiles » et l’accès à la culture bourgeoise.
Au 19ème siècle, quelques associations existaient ; elles avaient comme initiatives et activités, des conférences populaires, excursions, représentations musicales et théâtrales ainsi que des bibliothèques populaires. L’organisation de loisirs éducatifs allait de pair avec la diffusion de connaissances utiles et la transmission culturelle.
Quant à savoir l’impact réel de ces différentes initiatives sur les aptitudes à la lecture et sur l’accès à la culture écrite, on n’en est encore qu’aux premières hypothèses. L’une d’entre elles est que, à l’exception des activités de pur divertissement, elles touchaient davantage une élite ouvrière, auxquels s’ajoutaient des individus des classes moyennes et de la petite bourgeoisie, que la masse ouvrière en tant que telle.

Pendant la dernière décennie du 19ème siècle et le début du 20ème siècle, le travail d’éducation populaire fut de plus en plus impliqué dans des tensions et contradictions politiques.
Le défi que le mouvement ouvrier, le parti et les organisations socio-démocrates posèrent à partir de la fin des années 1880 à la société bourgeoise, ainsi que la démocratisation de la vie sociale, eurent également des conséquences profondes sur le travail d’éducation populaire. Intégrer les ouvriers et les paysans, idéologiquement et culturellement, dans la société bourgeoise devint une nécessité ainsi qu’assurer une base populaire aux partis politiques bourgeois. Les catholiques et les chrétiens-démocrates réussirent d’ailleurs mieux que les libéraux à suivre l’exemple socio-démocrate et à créer leurs propres organisations de masse ainsi que des structures politiques et culturelles modernes. Bon nombre d’associations et organisations socio-culturelles qui se créèrent en Belgique, avant et après la Première guerre mondiale, sont à placer dans cette perspective. De telles organisations de masse amenèrent l’intégration de larges couches de la population dans la politisation et créèrent un espace intermédiaire entre l’Etat et la société. Lorsque les autorités commencèrent progressivement à s’intéresser pendant l’entre-deux-guerres à une politique d’éducation populaire, elles s’appuyèrent en première instance sur ces initiatives privées. Que l’on pense par exemple à tout le travail de Joseph Cardijn, des équipes populaires et du Mouvement Ouvrier Chrétien.

La « pilarisation » de la Belgique et l’appui de l’Etat à ces piliers sont des caractéristiques essentielles de notre histoire jusque dans les années 70. Il s’agit de la constitution autour de chaque grand parti, libéral, chrétien et socialiste, d’un ensemble d’institutions sociales, culturelles, mouvements de jeunesse, journaux, mutuelles… Elles permettaient à chaque citoyen, de naître, vivre, travailler, se distraire, s’informer, se soigner et mourir dans le pilier de son choix. Tels étaient les points de départ sur lesquels reposait la politique socio-culturelle en Belgique. C’est l’essence même de la liberté subsidiée.
Pour autant qu’on puisse parler dans les années 1920 et 1930 d’une politique gouvernementale en matière d’éducation populaire, elle fut surtout le résultat d’initiatives socialistes.

Après la Deuxième guerre mondiale, les piliers et les formations politiques se réinstallèrent assez rapidement et redéveloppèrent des associations et des institutions socio-culturelles et éducatives. Cette évolution trouva sa conclusion définitive dans les années 1950 et 1960, lors de la pacification qui suivit la guerre scolaire et qui consolida, avec le Pacte Scolaire et la Question Royale, l’existence dans la société belge de blocs de pouvoir. Les autorités soutenaient cette évolution, même s’il y eut à cette époque une sensibilisation grâce aux idées d’éducation permanente de plus en plus présentes à un niveau international.
Mais il fallu attendre le règlement de la question linguistique – Flandre, Wallonie/Bruxelles et la communauté germanophone - pour avoir une réelle politique culturelle et d’éducation des adultes.
Le développement le plus important de cette période fut en effet l’évolution vers une autonomie culturelle pour les trois communautés. Déjà au début des années 60, il y eut 2 ministères et 2 administrations distinctes. Dans le cadre de la révision de la constitution de 1970, l’autonomie culturelle fut définitivement introduite et dans chaque communauté furent créés des Conseils Culturels législatifs, qui furent dorénavant compétents en matière de politique socio-culturelle et d’éducation des adultes.

IV. Histoire de l’E.N.A.I.P.

(Nous étudierons de manière plus précise l’un des centres d’Education Permanente dans lequel nos étudiants ont l’occasion d’effectuer leur stage, ce qui fut le cas de Noëlla Rousseau en 2002).

Les origines
L'E.N.A.I.P. constitue le service de formation du mouvement des Travailleurs A.C.L.I. (Association Chrétienne des Travailleurs Internationaux).
L'organisme s'est créé en Italie, au lendemain de la seconde guerre mondiale.
L'E.N.A.I.P., en lien avec l'immigration italienne, s'est développée à travers le monde et plus particulièrement en Europe.
En Belgique, l'organisme a mis en œuvre ses activités en 1962 comme association de fait puis en ASBL en 1986.
La raison fondamentale de l'action menée par l'E.N.A.I.P., est de réaffirmer la fonction citoyenne de chaque individu en œuvrant, via la formation, à mettre à disposition les outils indispensables à sa participation active, pour la construction d'une société plus équitable tenant compte, notamment, de la richesse qu'offre l'immigration.
L’E.N.A.I.P. s’est implanté dans le quartier St Léonard à Liège, car l’immigration Italienne était très forte dans cette zone après la seconde guerre mondiale. Maintenant, ce quartier présente une extraordinaire richesse multiculturelle puisque plus de 70 nationalités différentes y habitent. Il est évident que cette diversité suppose de nécessaires et importants efforts pour rendre accessible la culture d’ici à tous, dans un but d’autonomie des personnes.
On peut dire que l’E.N.A.I.P. continue sa mission d’insertion des étrangers dans notre pays et même que l’association s’est adaptée à cette affluence enrichissante.

Projet de l’E.N.A.I.P. à ce jour
L’E.N.A.I.P. a pour mission de rencontrer prioritairement les besoins du milieu populaire.
Il vise la promotion des travailleurs, leur insertion sociale et professionnelle par une formation globale et pré-qualifiante.
L’action de l’E.N.A.I.P. :
- la lutte contre les handicaps socio-culturels et le non-emploi, à la recherche sur les profils professionnels de demain et analyse sur pied de formations nouvelles.
- l'aide aux personnes en voie de marginalisation pour se qualifier professionnellement, afin de devenir des citoyens actifs (critiques et responsables).
- la réinsertion d’un public à risque, défavorisé, peu scolarisé ou menacé dans la stabilité d’emploi par l’évolution des technologies et qui n’a pas accès aux formations actuelles pour diverses raisons (acquis préalables, choix offerts, organisation).
L’E.N.A.I.P. entend assurer sa mission spécifique, elle se veut autre que celle de l’école, de l’entreprise ou des services sociaux.
Ainsi, la formation de l’E.N.A.I.P. :
- se veut performante et actualisée de façon systémique pour correspondre aux évolutions techniques des entreprises.
- est mise en œuvre par des praticiens du métier, des pédagogues et des universitaires, dont la formation est permanente.

C’est, notamment, parce que les moyens n’étaient pas suffisants auparavant que les associations et centres de formations ne se sont pas développés plus tôt. Mais aussi, parce que, comme le dit le projet de l’E.N.A.I.P., ce genre d’association évolue dans son contexte temporel. Le chômage, facteur essentiel de précarité et d’exclusion sociale, présente un lien évident avec un bas niveau de formation, encore plus, bien sûr, avec l’analphabétisme. Ainsi, en Belgique, on ne trouve que 37% d'actifs dans les diplômés de l'école primaire et donc 63% de chômeurs( stat.INS).
Les origines multiculturelles rendent aussi essentielles l’apprentissage de la langue, parlée et écrite, du pays où l’on réside. Enfin, aujourd'hui, on pousse beaucoup plus les jeunes à faire des études supérieures car il y a un besoin général de personnes qualifiées pour pouvoir travailler avec l’aide des nouvelles technologies. Avant, l’apprentissage se faisait « sur le tas » dans le cercle familial et les connaissances ainsi acquises suffisaient à satisfaire les besoins physiologiques de la famille.
La complexité du monde du 21es, les enjeux d'une société démocratique et multiculturelle exigent la possession d'outils intellectuels par un maximum de personnes.

Bibliographie

Livres
- Sylvie – Anne Goffinet, Dirk Van Damme ; « analphabétisme fonctionnel en Belgique » ; Fondation Roi Baudouin et Institut de l’Unesco pour l’éducation ; 1990.
- Marcel de Clerck, Analphabétismes et alphabétisations (au pluriel), Institut de l’UNESCO pour l’éducation 1993, Allemagne.
Article
- La libre Belgique, Gazette de Liège ; Mardi 11 décembre 2001 ; « Des cours adaptés à leur réalité » ; Sophie Lebrun.
Sites
- http://users.swing.be/enaip-belgio
- http://users.skynet.be/lewal/Presgen/analpha.htm
- http://www.europarl.eu.int/meetdocs/committees/empl/20010709/439432fr.pdf
- http://www.unesco.org/bpi/fre/unescopresse/2002/02-59f.shtml
- http://www.webencyclo.com/articles/articles.asp?lDDoc=000001bb
- http://www.droitdasie.be/2-4/photos/00-12-11/organigramme3-2.gif
- http://www.droitdasie.be/2-4/photos/00-12-11/organigramme2-2.gif
- http://www.wallonie-en-ligne.net/Wallonie-Futur-1_1987/WF1-38-Baragiola-N.htm
CD Rom
- Encyclopédie Microsoft Encarta 200. 1993-1999 Microsoft corporation.

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